Le Secrétariat:
a) publie une notification aux Parties leur demandant de rendre compte de toutes les mesures qu’elles ont prises pour prévenir et atténuer le risque de propagation et de transmission d’agents pathogènes par le commerce d’espèces sauvages et les chaînes d’approvisionnement associées, y compris les marchés, et rend les résultats disponibles sur le site Web de la CITES sous la forme d’une compilation des réponses pouvant être utiles aux autres Parties ;
b) examine son Accord de coopération avec l’Organisation mondiale de la santé animale (OMSA) afin d’identifier toute mise à jour nécessaire pour refléter les orientations fournies par le Comité pour les animaux et le Comité permanent, et travaille avec la OMSA afin, entre autres, d’élaborer un programme de travail conjoint visant à identifier des solutions efficaces et pratiques de réduction des risques de propagation d’agents pathogènes dans les chaînes d’approvisionnement en espèces sauvages ;
c) collabore avec la Convention sur la conservation des espèces migratrices afin d’évaluer le risque potentiel de propagation des agents pathogènes et trouver des solutions pratiques permettant de réduire les risques de transmission d’agents pathogènes par la faune sauvage ;
d) à la suite de toutes les consultations nécessaires, prépare un rapport résumant les activités existantes ou les accords officiels avec d’autres entités – telles que, entre autres, la Convention sur la diversité biologique (CDB) et d’autres accords pertinents liés à la biodiversité, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Consortium international de lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages (ICCWC) – et les éventuelles opportunités qui pourraient se présenter, et identifie les possibilités de collaboration pratique supplémentaire en vue de réduire le risque de propagation d’agents pathogènes ou de transmission de zoonoses dans les chaînes d’approvisionnement du commerce international d’espèces sauvages, y compris les possibilités de création d’un organe consultatif CITES ; et
e) fait rapport au Comité pour les animaux et au Comité permanent sur la mise en œuvre des paragraphes a) à d) de la décision 19.15.